Evid beza e stad da reseo komz Doue ha da ober an Eukaristiez, an ilizad-tud a anzao he fehedou, a c’houlenn pardon Doue.
Pevar mod a zo da ober lid a binijenn :
Ar beleg a lavar neuze ar bedenn a bardon.
Pour pouvoir recevoir la Parole de Dieu et célébrer l’eucharistie, le célébrant et l’assemblée reconnaissent leurs péchés et demandent la miséricorde de Dieu. Il y a quatre possibilités :
Le prêtre célébrant conclut par la prière d’absolution.
La troisième formule, avec les invocations au Christ, semble la plus utilisée. Mais il faut veiller à ce qu’elle soit sobre, bien centrée sur le Christ (et non sur nous, comme pour un examen de conscience…), sans faire comme si l’on avait déjà entendu les textes de la liturgie de la Parole.
On gagnera à varier les formes de la prière pénitentielle parmi celles proposées par l’Église. Pour des circonstances particulières, il faut penser aussi à des gestes ou des attitudes possibles : s’incliner profondément, s’agenouiller, se frapper la poitrine, mettre en valeur la Croix et la contempler…