Nous poursuivons notre chemin dans Fratelli Tutti, l’encyclique du pape François. Nous sommes au chapitre 4, Un cœur ouvert sur le monde. Loin de « l’angélisme » dont parlent ses détracteurs lorsqu’il aborde la question des migrants, le chef de l’Église plaide plutôt pour des instances internationales solidaires des peuples en difficulté. Une résolution du problème à la source, que nous explique le père Armand Guézingar.